Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
À contre-cœur, je me préparais à descendre le carton de mes
sous-vêtements non retenus à la cave. Je ne pourrai plus y avoir accès sauf autorisation spéciale de mes Maîtres. Les instructions que j’avais, avaient étés proposées par Mr Alain44, complétées
par Master Phénix, validées et parachevées par mes Masters. Je devais éditer une affiche et la coller sur le carton avec comme slogans : "Sous-vêtements à ne pas ouvrir sans l’accord écrit de
mes MASTERS", en plus du rédigé déjà sur celui-ci. Je devais descendre pieds nus, des pinces aux seins, le collier et sa médaille, un gros plug, sa ceinture, le short blanc et le polo jaune sans
fermer les boutons. Je devais me déshabiller dans l’ascenseur pendant la descente. Aller et ranger le carton dans la cave, nu. Revenir et remonter chez moi dans la même tenue, directive de
dernières minutes. Je devais prendre des clichés à toutes les étapes de ce "voyage". Je devais donc prévoir descendre dans la nuit pour ne pas croiser de voisins. J’essayais de me préparer
psychologiquement et je repoussais donc constamment cette escapade nocturne dégradante. Le froid arrivant, je devais me décider à enfin prendre mon courage à deux mains malgré les directives
humiliantes et avilissantes. J’éditais l’affiche que je scotchais sur le devant du carton. C’était la première étape, la plus facile bien qu’elle soit déshonorante.
Je surveillais plusieurs jours les allers-retour nocturnes des voisins qui sortaient leurs animaux dans la nuit. J’attendais le début du week-end. Je choisissais le vendredi dans la nuit. Je me décidais enfin à effectuer ce voyage. Je préparais dans un sac une lampe pour dans la cave, l’appareil photo et le portable pour réaliser les clichés nécessaires. J’installais le plug N° 10, le pot de graisse et les pinces à coté du carton, prêt à l’emploi. Je mettais le réveille à sonner à 02h00 du matin. Je me couchais avec angoisse à l’idée de réaliser cette sortie. Mon cœur battait déjà très fort. J’essayais de trouver le sommeil. Après plusieurs dizaines de minutes à compter les moutons, je m’endormais enfin. Dans les bras de Morphée, je commençais à rêver qui se transformait en cauchemar. J’étais dans la cave pour descendre le carton en tenue d’Adam avec seulement le collier et sa médaille, les pinces aux seins, la cage, un plug qui éclatait mon pauvre trou bloqué par la ceinture. Mon cœur battait à tout rompre. J’avançais et lorsque je passais devant une porte, elle s’ouvrait et un ou plusieurs voisins en sortaient. Lorsqu’ils me voyaient, ils riaient ou ils m’insultaient pour ma tenue. J’essayais de courir pour arriver dans la mienne mais le couloir s’allongeait de plus en plus avec autant de portes et encore plus de personnes qui en sortaient, se moquaient de moi et me raillaient. Je me réveillais en sur-saut et en nage. Mon palpitant battait tellement fort que je sentais la pression dans les oreilles. Je me sentais encore plus honteux et je m’imaginais le pire pour tout à l’heure. Je me levais boire un coup pour me calmer et je me recouchais. J’avais du mal à retrouver le sommeil. Lorsque le réveil sonna, je faisais un bond dans le lit car je faisais de nouveau un cauchemar. J’avais tellement transpiré que les draps étaient tout humides et mon cœur jouait encore la chamade. Je me levais et allais boire un grand verre d’eau pour essayer de me calmer un peu. Je commençais par changer de plug. Progressivement je sentais l’intrus sortir. Mon trou soulagé, se mit à pousser. Suivant les instructions humiliantes, dégradantes et à contre-cœur, je prenais les premiers clichés témoins de la sortie du plug N° 08 que j’avais pour dormir. J’en profitais pour aller aux toilettes car une envie d’uriner arrivait.
Comme mon petit trou ne cessait pas de pousser, je prenais un suppositoire. Je le plaçais dans mon pauvre trou et je poussais à la suite le plug N° 10 après l’avoir graissé. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir, s’ouvrir…. Je poussais des deux mains pour arriver à le faire pénétrer. À chaque étape, je stoppais pour prendre un cliché. Je devais faire très attention car la dernière fois que je l’avais utilisé, j’avais éjaculé sans le vouloir. Ce fut très frustrant, humiliant et dégradant ! Enfin, mon hangar à b… gobait ce nouvel intrus. Mon pénis se gonflait de sang et je sentais les picots de la cage pénétrer dans mon malheureux gland et dans ma verge. Plus ils rentraient, plus ça m’excitait et plus j’essayais de bander. Malheureusement la cage l’en empêchait mais mon érection contrariée continuait. Je me sentais rabaissé, offensé et avili de ne pas pouvoir me masturber, jouir et de devoir tout illustrer avec des photographies. Je regrettais le choix du plug car ma pauvre rondelle était aussi dilatée avec ce colosse et il était bloqué par la ceinture. Mon malheureux cul était explosé !
Je posais les pinces à chaque mamelon lorsque mon orifice se calma un peu. Une douleur irradiait alors ma poitrine. J’enfilais ensuite le short blanc et le polo délicatement en faisant attention
de ne pas trop toucher les pinces d’où un incendie se diffusait dans tout le torse mais qui était atténué par la douleur qui montait de mon cul ! Je prenais de nouvelles photos de ma tenue avant
de me décider à partir enfin ! J’avais de plus en plus ma petite fleure éclatée comme la base est aussi grosse qu’un beau plug moyen, 6 cm de diamètre la base, 8 cm la boule du plug et plus de
10,5 cm de longueur insérée. C’est une vraie bombe pour ma rondelle. Je me déplaçais comme un canard boiteux. J’avais honte et me sentais vraiment diminué. Je craignais de
croiser quelqu’un en cheminant de la sorte !
J’éteignais les lumières de chez moi. Je regardais dans le Juda,
vérifier que personne n’était dans le couloir. Je tournais doucement la clé dans la serrure. Je sortais le trousseau subtilement du barillet. Je prenais le
carton et le sac. Discrètement j’ouvrais ma porte et la refermais aussi vite et délicatement possible sans la fermer à clef. À tâtons, j’accédais à l’ascenseur et je l’appelais. Dans le noir,
j’entendais la machinerie se mettre en marche et l’appareil monter. Je tendais les oreilles pour vérifier que personne ne sortait de chez elle. Les portes s’ouvraient et je m’empressais à monter
dedans. Je posais au sol mes affaires et j’appuyais sur le sous-sol. Je me déshabillais en hâte, le temps que l’ascenseur descende pour prendre un cliché, toujours suivant les directives
humiliantes de mes Masters. Étant pieds nus, je sentais le froid monter du sol. Je sentais à peine la douleur des pinces tellement mon malheureux trou souffrait. Bien que je me sois promis à ne
pas le faire, je maudissais les commentaires des visiteurs qui étaient à l’origine de ces directives validées par mes Maîtres et les instructions ajoutées par ces derniers.
Les portes s’ouvrirent. Je lançais la minuterie du couloir et les lampes s’allumèrent. Je sortais le carton de sous-vêtements et le sac où j’avais posé le trousseau de clés. Je pliais rapidement le short et le polo que je posais contre le mur près de l’ascenseur comme mes Masters me l’avaient commandé. J’allais devoir continuer mon humiliation dans les caves comme un nouveau-né, nu avec seulement les attributs du slave. Mes plantes des pieds sentaient toutes les aspérités du sol. Comme je ne pouvais par prendre de cliché devant l’ascenseur, n’ayant pas assez de recul, je rentrais dans le premier sas où je déposais le carton et le sac. Je réglais mon appareil photo que je posais sur le premier. Je lançais le retardateur et je reculais jusqu’à la porte du couloir les mains sur la tête. Je faisais de même pour mon malheureux trou obstrué et bloqué par la ceinture. J’étais à l’affût du moindre bruit et surtout celui de la machinerie.
Je sentais le froid caresser tout mon corps. Mon cœur battait de plus en plus vite et fort. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Je repensais à mon cauchemar et j’attendais à tout moment voir les portes des caves s’ouvrir. Je prenais le carton, le sac et je me rendais à ma cave qui est une des dernières. J’avais l’impression que le couloir devenait de plus en plus long. Enfin, j’arrivais devant ma porte. Je prenais le trousseau de clefs et j’ouvrais la mienne. Je posais le carton à l’intérieur et j’allumais la lampe à LED car il y avait eu des commentaires lors d’une précédente descente aux caves car les photos étaient mal exposées faute du manque d’éclairage. J’espérais qu’avec cette nouvelle lumière, ça irait mieux.
Je sortais dans le couloir pour prendre de nouveaux clichés. Mon cœur battait toujours la chamade. Le froid enveloppait de plus en plus mon corps comme un manteau de glace. Je commençais à avoir des frissons et la chair de poule. Plus le temps s’écoulait et plus je risquais de croiser une personne d'autant que j’avais laissé mes affaires devant l’ascenseur. Je m’imaginais un voisin descendre, les trouver et me les apporter. Il fallait que j’accélère le pas car les aiguilles de l’horloge tournaient. Plus je restais dans les sous-sols et plus je prenais le risque de croiser un individu. Je fermais ma cave à clef et je posais le trousseau dans le sac. J’en profitais pour photographier son contenu comme mes Masters avaient demandé une preuve de chaque détail.
J’avais presque terminé mais je n’étais pas au bout de mes
inquiétudes et de mes humiliations. Je reprenais mon sac après avoir rallumé la minuterie. Mon palpitant battait toujours aussi vite. Je sentais le froid pénétrer dans tous mes pores. Je marchais
de plus en plus mal, en canard, cambré tellement mon trou me faisait souffrir. Mes pieds traînaient au sol et ramassaient toutes les saletés. J’arrivais enfin au sas. Je m’apprêtais à appeler
l’ascenseur lorsque j’entendis la machinerie se mettre en marche. Mon sang ne fit qu’un tour et j’attrapais mes affaires au sol que je fourrais rapidement dans mon sac. Je faisais demi-tour et
j’allais me cacher dans le second sas qui desserre le local technique et la montée d’escalier. De là je pouvais me cacher si la personne venait dans sa cave. Mon cœur battait de plus en plus vite
et j’avais de plus en plus peur. Je serrais les dents en essayant de me calmer. Des frissons couraient tout
le long de mon corps. Je commençais à trembler de froid et de peur que l’on puisse me voir dans cette tenue. Je me sentais de plus en plus frustré, humilié, déshonoré et avili ! Je maudissais les
commentaires de tous les visiteurs et mes Masters de les avoir validés. Je craignais de plus en plus que l’on puisse me voir ainsi. J’entendis alors la personne au-dessus de moi qui sortait dans
le hall et parlait à son animal, certainement un chien. Je poussais un grand Ouf !!! de soulagement. Il ne fallait pas que je traîne trop encore ici. Je retournais à l’ascenseur. Après un instant
pour m’assurer que personne d’autre n'appellerait cet appareil, j’appuyais sur le bouton. J’entendis la machinerie se mettre en route et l’ascenseur arriva. Les portes s’ouvrirent avec
soulagement. Je montais rapidement dedans et j’attrapais mon portable pour faire un dernier cliché le temps que je remonte chez moi.
Je le terminais lorsque les portent s’ouvrirent à nouveau. Sans allumer la lumière du couloir, juste avec la clarté de l’appareil, je me rendais à mon appartement. Ne l’ayant pas fermé à clé comme mes Maîtres avaient commandé que je remonte nu je rentrais discrètement chez moi. J’étais couvert de sueurs froides. Je grelottais et j’avais la chair de poule. Mon cœur jouait toujours la chamade. Un peu plus, je croisais un voisin nu dans l’ascenseur. J’ai eu vraiment très peur. Etant glacé, je me faisais un bon grog bien chaud et bien tassé pour me réchauffer de l’intérieur. J’essayais de me calmer mais mon trou n’en pouvais plus. J’enlevais ce mastodonte pour remettre en place le plug N° 08 pour le restant de la nuit car j’avais instruction de finir la nuit sur le sol de ma chambre à mon retour. J’enlevais le short, le polo, les pinces et je buvais mon grog. Je verrai le lendemain pour les clichés et la rédaction du rapport. Rarement je m’étais senti aussi mal à l’instar de ma dernière sortie au lac.
À contre-cœur, je remercie mes Masters pour cette escapade nocturne dans les caves qui fut une étape de plus dans mon humiliation et mon avilissement.
Bonjour Mrs e MASTERS du bastard et tus les Visiteurs ,
Le Poids des Photos et la Pertinence des Mots,
Mrs les Masters vous avez pû par votre éducation permettre à votre larve de connaître le bonheur ; l' expérience des vêtements déposés à ' entée du couloir a été une bonne étape . Votre soumis a enfin compris la nécessité de bien montrer à tous son obéissance et de faire abstraction de son Intimité;
Cette expérience montre bien les efforts intellectuels effectués par votre larve qui ,visiblement, à trouver son bonheur à progresser dans l' obéissance.
Votre larve relate , (à la 5ème ou 6 ème avant dernière ligne ) avoir enlevé son short, ses pinces notamment. J' ai lu et relu on rapport . Je n' ai pas truvé depuis quel moment il les portait. POINT A VERIFIER .
Exercice golablement positif ( rélisation et compte rendu) qui pourra servir de base pour de nouveaux exercices à venir
Mr Alain44
Bonsoir Mr Aalin44,
Je relate la pose des pinces et du short dans le 4ème paragraphe. Lorsque j’ai mis le plug en place maintenu par la ceinture, photos de 12 à 17, je commence le passage : "Je posais les pinces à chaque mamelon…. J’enfilais ensuite le short… (Photos 18 à 22)."
J’espère que ce sera plus claire avec ces explications Monsieur.
Le slave.
Bonjour Mrs les MASTERS de la larve,
A dernière ligne -5 ( 5ème ligne en partant de la dernière ligne ) indique qu' elle a remis son short et son polo alors quelle était déjà chez elle. A quel moment les a t elle réenfilés ?
Mr Alain44
Bonjour Mr Aalin,
J’aurai dû être plus explicite effectivement Mr. Précédemment j’avais dit que j’avais mis mon short et mon polo dans le sac. Le "j’ai enlevé" sous-entend du sac pour les plier et les ranger et pour ne pas faire de répétition pour les pinces j’ai mis tout ensemble. La prochaine fois je ferai plus attention dans mon récit pour éviter des mal-entendus.
Mr Alain, et aux visiteurs, je vous prie de bien vouloir m’excuser pour cette confusion.
Le slave.
Bonjour Mrs les Masters du bastard, Mr Alain et les visiteurs,
Je viens de lire son rapport qui est bien détaillé et illustré en première lecture. J’ai pourtant deux remarques à faire qui me saute aux yeux :
Voici mes premières remarques après la première lecture.
Master Le Phœnix.