Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Maître Dédé avait donné de nouvelles instructions pour la nuit que
Maître Michael avait validées. Ce dernier avait ordonné de prendre une photo. Toute la journée je réfléchissais comment j’allais faire pour la réaliser car Maître Dédé avait commandé de dormir
attaché en croix à chaque coin du lit avec le bâillon boule et les autres contraintes, extinction des feux à 22h00.
Je rentrais donc chez moi et après avoir dîné, je préparais le lit
avec les menottes en cuir attachées à une corde aux pieds du lit. J’installais l’appareil photo sur un échafaudage au pied de celui-ci pour que je puisse l’atteindre avec les menottes aux
chevilles. Je programmais le retardateur.
Vers 21h30 je commençais à poser le bâillon et attacher les
chevilles aux menottes et je préparais celles des poignets. Je gardais le collier et sa médaille, la cage de chasteté, le ballestrecher, le plug deux boules et la ceinture. J’atteignais
l’appareil et je lançais les 10 secondes de retardateur. Je m’empressais à passer les poignets dans les menottes à la tête du lit et la photo était prise.
Je détachais un instant les poignets pour éteindre la lumière et
je les renfilais dans les menottes. Il était un peu moins de 22h00 comme maître Dédé avait ordonné. Je sentais mes testicules étirés par le ballestrecher reposer sur le lit. Ma petite fleur
ouverte par le plug bloqué par la ceinture. J’étais donc en croix et j’essayais de trouver le sommeil. Je me tournais légèrement sur le côté pour m’endormir. Après plusieurs dizaines de minutes,
je m’assoupissais. Un moment plus tard, voulant me retourner, les entraves me réveillais. Je maudissais les directives de Maître Dédé et Maître Michael de les avoir approuvées. Je recherchais le
sommeil. Lorsque ce n’était pas les entraves qui me réveillaient c’était mon trou qui faisait des siennes. Il se mettait à pousser ce qui me réveillait. La ceinture l’empêchait de sortir et je le
sentais revenir en place. Cela provoquait une nouvelle érection. Je sentais mon malheureux pénis enchâssé dans la cage. Malgré que ce soit la plus grande cage, la queue du slave était à l’étroit.
J’avais alors une envie de me masturber mais je ne pouvais plus bouger étant attaché. Je maudissais un peu plus les ordres des Masters.
La nuit se déroulait ainsi
avec des assoupissements, des réveils contrariés par les entraves ou par le plug et sa ceinture. Je me sentais vraiment humilié et frustré de passer la nuit ainsi. Je maudissais à chaque réveil
Maître Dédé et Maître Michael. Ces directives pour la nuit ont été vraiment très dégradantes, avilissantes et méprisantes. Vers 05h30 du matin étant réveiller et n’arrivant pas à trouver le
sommeil, je me décidais à me lever.
Après avoir bu un café je démontais l’échafaudage et je regardais la photo. Je rédigeais mon rapport.
Je dois tout de même remercier mes Maîtres car ils savent ce qui est bon et ce qu’il faut pour le slave que je suis malgré leurs directives humiliantes,
dégradantes et avilissantes qui sont pour le bien du slave.