Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Lundi soir je faisais part à Maître Michael des instructions pour la nuit d’un nouveau maître : Master Dédé. Il les validait malheureusement. Ayant mon trou plein, je passais à la salle de bain pour faire un lavement. J’en profitais aussi pour faire une bonne épilation du trou et des fesses du slave. Terminé, je remettais en place le plug deux boules et je reposais la ceinture pour le maintenir en place. Je dînais. Lorsqu’il fut l’heure du couché et suivant les consignes de Master Dédé, je posais les menottes métal aux chevilles et en cuir pour les poignets. Toujours suivant ses directives, je prenais le tout en photo.
Assis sur le lit pour prendre en photo les chevilles, j’en profitais pour en prendre une de mon malheureux pénis enchâssé dans sa cage et les pauvres testicules étirés un maximum par le ballestrecher. J’avais trop envie de me masturber pour jouir car ça va faire bientôt trois mois que la queue du slave est sous cage. Cela devient de plus en plus frustrant, humiliant et avilissant de ne plus pouvoir se vider régulièrement. Jour et nuit, je ne pense qu’au moment, où enfin, je pourrai enfin me masturber et me vider les couilles. Je maudissais un peu plus les Masters.
Ayant tous les attributs demandés par
Master Dédé je me couchais ainsi harnaché. Ne pouvant pas bouger comme je voulais, le sommeil fut long à venir !!! Je trouvais enfin le sommeil après un certain temps. Malheureusement il ne dura
pas car dès que je voulais bouger un peu, les entraves me réveillaient. J’attendais de nouveau le sommeil. La nuit se déroulait ainsi avec des temps de sommeils trop court. Chaque fois que
j’essayais de bouger ou de me tourner, les carcans me réveillaient et je maudissais Masters Dédé de ses instructions et Maître Michael de les avoir validées. Parfois, c’est mon trou qui faisait
des siennes. Il se mettait à pousser mais la ceinture bloquait le plug qui le bouchait. Je haïssais un peu plus les consignes des Masters. J’attendais avec impatience la sonnerie du réveil pour
ôter certains jougs. Lorsqu’il sonna enfin, je me levais avec difficulté, ayant très mal dormi. Je me faisais un café en j’enlevais enfin ces entraves. Je prenais en photo les marques sur les
chevilles, toujours suivant les instructions de Master Dédé.
Je me dépêchais à déjeuner pour faire le rapport de la nuit car Maître Michael m’avait passé la consigne de le rédiger le plus rapidement. Tout en le rédigeant, je maudissais Masters Dédé et Michael pour les directives de cette nuit. Elle fut laborieuse avec des temps d’insomnies trop longues. Je sais que s’ils demandent ces consignes, c’est pour le bien du slave que je suis. Il faut seulement que je m’y habitue….
Merci Maîtres.
