Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Le vendredi 29 avril, je recevais un couple d’amis de longue date.
Suivant les instructions de Maître Michael, j’étais vêtu du pantalon cuir qui fait apparaître la cage et d’un pull col roulé pour cacher le collier et la médaille. Malheureusement mes amis les
ont aperçus ou deviné qu’il y avait des renflements. Je trouvais l’excuse que la poche du pantalon était petite et j’avais un gros mouchoir dedans. Pour le collier, que c’était une amie qui me
l’avait offerte en souvenir…. Je me suis senti vraiment très humilié par leur réflexion et ma voix était hésitante. Heureusement, ils n’ont pas vu la médaille avec son inscription. J’étais
suffisamment humilié comme ça !!! Lorsque je pouvais, je me connectais le matin et je saluais le Maître. Tous les jours, je devais accepter de nouvelles demandes d’amis sur ma page Face Book.
Malgré mes réticences, le master me commandait de les accepter toutes. Progressivement, plus j’ai de demandes et plus je me sens humilié et avili par ces sollicitations grandissantes. Un matin,
un master demandait si je pouvais le recevoir. Je transmettais la demande à Maître Michael qui commandait d’accepter sa requête. Il m’informait aussi que je devrai le recevoir nu chez moi. De lui
mettre à disposition mon matériel et de lui obéir à toutes ses suppliques. Étant sous cage, je ne pourrai pas jouir et si je sens le jus monter, je devrai stopper un instant si non, une punition
suivra. Enfin, il pourra prendre toutes les photos qu’il voudra. Suite à son séjour, je devrai faire un rapport et les mettre sur ce blog. Il me confirmera plus tard sa venue. J’espère vivement
qu’il ne pourra pas venir car ce sera très dégradant et humiliant.
Un matin, Maître Michael ordonna d’ouvrir la braguette du cuir.
Mes amis s’en aperçurent et me firent la remarque. Je la refermais honteux. Heureusement qu’ils n’avaient pas aperçu la cage. Les picots pénétraient de plus en plus souvent dans le gland et la
verge ce qui me faisait bander de plus en plus souvent. Malheureusement, l’érection était contrariée par la cage mais n’empêchait pas que je mouille encore plus…. La situation devenait de plus en
plus humiliante et dégradante avec mes amis proche de moi. Je n’avais qu’une hâte, qu’ils partent. Au travail c’était le même problème, la cage s’apercevait dans le cuir et me valait parfois des
questionnements qui me provoquaient des sentiments d’humiliation et de frustration. Je maudissais encore plus le maître.
Un jour j’ai du enlever le plug car le côlon était plein. Ne
pouvant pas faire de lavement je le rangeais provisoirement et j’en informais le maître. Un matin il commanda que je me rende dans la salle de bain et que je frictionne les couilles avec de
l’alcool car j’avais fait un malheureux commentaire. Je m’exécutais. Lorsque le liquide se mit à chauffer, j’essayer d’étouffer un gémissement. Mes amis frappaient à la porte en demandant si
j’avais un problème. Le souffle coupé, j’essayais de leur répondre. Je haïssais, une fois de plus, Maître Michael et ses instructions….
Le Maître demandait un jour de me rendre dans des toilettes
publiques, de me prendre en photo, nu, de faire de même en pleine nature lorsque mes amis seront partis. Il me commandait aussi de garder la braguette ouverte. Je trouvais l’excuse qu’elle était
défectueuse et qu’elle s’ouvrait régulièrement quand mes amis ou les collègues me faisaient la remarque. Je la fermais et un moment plus tard, je la réouvrais. La situation devient, avec le
temps, de plus en plus humiliante et embarrassante.
Un matin, parce que j’avais fait un commentaire, le Maître ordonna
que je change de cage et que je prenne la plus petite avec le grand plug urétral. J’allais les chercher à la cave et je la posais dans la salle de bain. Lorsque j’enlevais la cage avec picots, je
me mettais à bander. Je n’avais qu’une envie, de me masturber et jouir. Je me forçais à contre cœur de ne pas le faire car je serai puni !!! Après avoir mal mené et compressé mon pauvre pénis et
avec une très grande difficulté, j’arrivais enfin à mettre en place cette minuscule cage. Je positionnais ensuite le plug dans mon malheureux urètre. Un feu s’y propageait de suite et un incendie
irradiait le méat urétral.
Le soir j’informais Maître Michael que j’avais du enlever le plug en fin d’après-midi car, en le posant, j’avais du érafler l’urètre et j’avais uriné un peu de sang. Il ordonna alors de poser une autre cage en métal, celle sans plug. Discrètement, j’allais la chercher à la cave. Je la posais, à l’abri des regards, toujours dans la salle de bain. Dès que ma verge était libre, elle se gonfla de suite. Je bandais et j’avais qu’une envie, de me branler en cachette et de jouir enfin. Avec frustration et humiliation, je me forçais à ne pas toucher ma queue. Je posais avec grande peine et en m’aidant d’un coton tige la nouvelle cage. Mon malheureux pénis était à nouveau enchâssé dans les anneaux de la cage. Je continuais avec grande complexité à mettre en place le ballestrecher car avec cette nouvelle cage, il tire encore plus sur mes infortunés testicules. Je remontais le pantalon cuir et le fermais. Je m’apercevais qu’ils faisaient, la cage et le balle, un plus gros renflement dans le cuir. J’étais certain que cela me vaudrait de nouveaux commentaires dégradants qui me vaudra encore plus d’humiliation, de frustration et de vexation.
Il y a bientôt trois mois que je n’ai pas pu me vider les couilles
car je suis sous cage. La nuit, j’en fait des cauchemars : Je me masturbe et je sens le jus monter de plus en plus mais impossible de jouir. Plus je m’énerve sur mon pénis et moins le sperme veut
monter et sortir…. Par contre, je mouille car j’ai taché les draps et du les changer. Je mets jour et nuit un morceau de papier absorbant au bout de la cage pour éviter les salissures.
C’est vraiment humiliant, frustrant et dégradant. J’ai tellement envie de me branler et jouir que ça devient une obsession et la journée, je ne pense qu’à ça !!! Cela me pose parfois des
quiproquos dans mon travail qui ne font qu’augmenter mon humiliation, ma frustration et mon avilissement. Je maudis de plus en plus les Masters qui m’ont mis sous cage.
Je sais aussi, si Master Éric et Maître Michael font cela c’est
qu’ils savent que c’est pour le bien du slave car les Masters connaissent ce qu’il faut ou non pour le slave que je suis.
Merci Maîtres.
Voilà un rapport bien rédigé et des photos judicieuses