Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Ce lundi matin Maître Michael, après quelques échanges, me donnait
une nouvelle directive à faire avant la fin de semaine car des amis viennent me rendre visite pour 2 semaines. Il commandait de me rendre dans une cabine d’essayage et de prendre en photo les
contraintes. À la sortie du bureau, je me rendais donc dans un magasin et prenais des pantalons. Je me rendais dans la cabine pour, soit disant les essayer….
La nouvelle cage pose plusieurs gros problèmes humiliants et
dégradants. Avec les picots qu’il y a dedans, lorsque je bouge et dès que mon pauvre gland en touche un, mon pénis essaye de gonfler. Mon érection est perturbée non seulement par la cage mais je
sens chaque picot pénétrer plus profondément chaque fois. Cette cage est encore plus humiliante et avilissante que les autres. Je maudis régulièrement Maître Michael d’avoir demandé d’en changer.
Celle-ci me pause encore plus de problèmes et d’humiliations. Lorsque je suis au bureau assis, parfois j’essaye d’avoir une érection involontaire car elle me pose de gros embarras. Je dois me
contrôler pour ne pas faire voir que je sens mon gland s’enfoncer sur les pics. Lorsque cela arrive, plus j’essaye de débander, plus le gland pénètre sur les picots et plus ma verge essaye de
gonfler. J’en ai souvent le souffle coupé ! Plus j’essaye de débander, plus le gland est piqué, plus le pénis se gorge et plus je sens chaque pic pénétrer dans le gland et la queue. Une situation
très humiliante, avilissante et dégradante surtout lorsque j’ai du monde autour de moi. Je maudis à chaque instant le Master qui m’a demandé de poser cette cage. De plus, avec le pantalon cuir
que je dois porter quotidiennement, le balle et la cage s’entrevoient ! Surtout la dernière se devine bien sous le cuir c’est une situation qui est très humiliante et embarrassante aussi
!!!
Je me retrouvais donc dans la cabine et je me déshabillais. J’entendais les autres personnes dans les cabines autour de moi. J’espérais que le vendeur ne me dérange pas. Je prenais en photo le slave dans la cabine et la cage en gros plan.
Je me rhabillais rapidement. J’étais en train d’enfiler le pantalon lorsque le vendeur venait me demander si j’avais besoin de conseil. Je le remerciais et m’empressais à terminer de m’habiller. Je sortais de la cabine avec le cœur qui jouait la chamade. Je rendais les pantalons au commerçant et discutais un instant. Je me sentais très mal. J’avais l’impression que ses yeux s’attardaient sur le cuir car il me faisait la remarque que c’était un beau cuir. J’acquiesçais en sentant le sang monter à la tête. J’avais le cœur qui jouait la chamade. Je me sentais encore plus humilié et avili. Je le remerciais et lui rendais ses biens. Je partais précipitamment prétextant un rendez-vous oublié. Honteux, confus, je regagnais ma voiture. Cette directive était très humiliante, avilissante et dégradante ! Je rentrais enfin chez moi espérant que des situations identiques ne se reproduisent pas trop souvent.