Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
Ce matin, après avoir salué Maître Michael et l’avoir informé que Master Eric avait donné son autorisation d’enlever toutes les contraintes en attendant de vider enfin mes testicules, il donna son accord d’ôter le bondage dans la matinée aux toilettes du bureau. Il me commanda malheureusement de prendre une photo avant de l’enlever et après sans bondage une juste les bourses.
Dans la matinée, j’allais donc aux toilettes. Juste à l’idée de défaire le bondage, je me mis à avoir une érection. Heureusement que j’allais aux WC car une
grosseur apparue dans mon pantalon. Je me sentais très mal et je pressais le pas. Je baissais le treillis et je prenais une photo. Je défaisais le bondage et une envie grandissante me prenais de me toucher. J’avais une envie pressente de me masturber et d’enfin jouir. Honteux et
meurtri, je photographiais mon sexe et mes bourses. Quelle frustration d’avoir
mon pubis en érection et la main me démangeait ! Cette situation devient de plus en plus
frustrante et humiliante. J’ai vraiment du mal à tenir et à exaucer les ordres de mon maître, Master Eric. Cela fait
19 jours que je n’ai pas jouis et ça devient une obsession. Je ne pense qu’à cela de toute la journée et je n’ai qu’une pensée, quand Master Eric daigneras m’appeler et me vider
les couilles. À cause de ma famille qui a désiré prolonger son séjour, mon enfer doit continuer. J’espère seulement que mon Master prendra en
pitié le slave que je suis. Qu’il pourra appeler rapidement pour vider les
couilles de son humble serviteur ! Qu’il ne le laissera plus aussi longtemps en abstinence ! D’autant que je n’ai plus de contraintes et c’est vraiment plus qu’humiliant et frustrant de ne pouvoir se caresser
et surtout se branler ! Sur ces pensées, je roulais le lien et le rangeais dans une poche. Je retournais à mon bureau avec une trique que j’essayais de dissimuler en tirant mon pull. Je m’assoyais confus, avili et froissé.