Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335

Rapport de la visite médicale du mercredi 17 février

 

      Comme j’ai rendez-vous chez mon médecin pour le renouvellement de mon ordonnance, je me suis levé de bonne heure avec une trique malheureusement dans un carcan avec une difficulté à bander…. Une fois de plus, je maudissais mes Masters de m’avoir imposé cette cage ! Après avoir bu un café je passais à la salle de bain où j’ôtais cette prison. J’en profitais alors pour aller uriner debout car depuis que je porte cette astreinte, je ne peux plus que le faire assis sur le trône comme une pute ! Sous la douche, je lavais à fond mon sexe libéré avec une envie grandissante de me branler et de vider mes infortunés testicules. Je lutais contre ce désir avec frustration. Avec une grande difficulté, je m’obligeais à passer au reste du corps. Après m’être séché et fait le reste de la toilette, je m’habillais en commençant par le boxer blanc que Mater Eric m’avait autorisé à porter. J’espère que ce soit toujours ce style de sous-vêtement qui me sera permis de porter.

      Arrivé chez le médecin, j’attendais un instant le temps que la personne qui était devant moi sorte. Ma généraliste me fit entrer dans son cabinet. Je lui donnais mes papiers et elle m’invita à me mettre en petite tenue. Après être passé sur la balance, je m’allongeais sur la table où elle fit son travail. Terminé, elle retourna à son bureau. Pendant ce temps, je me rhabillais honteux en pensant à ce que je devrais faire de suite après. Je prenais mon ordonnance et je lui souhaitais une bonne journée. Je sortais de son bureau et au moment de partir, je demandais au secrétariat si je pouvais utiliser leurs toilettes. Je m’enfermais et me déshabillais de nouveau le bas. Après avoir ôté ma veste, j’enlevais mes chaussures, baissais mon treillis et prenais une dernière photo avec mon boxer en espérant pouvoir un reporter un.

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      Je le retirais et j’en profitais pour uriner une nouvelle fois debout. Je me rhabillais, je roulais le sous-vêtement et l’introduisait dans une poche du pantalon. Je sortais, saluais la secrétaire honteux en pensant ce que je venais de faire et je retournais à ma voiture. Je m’assaillais et je m’aperçu que j’avais la braguette ouverte. Embarrassé, je m’empressais à monter la fermeture éclaire. Je passais à la pharmacie déposer mon ordonnance en leur disant que je repasserai en fin d’après-midi. Je rentrais enfin chez moi ! Je me dépêchais à monter dans mon appartement. Je préparais la cage, le plug urétral, le Ballstretchers après l’avoir pesé pour connaître son poids exact et le plug anal qui tient seul pour ne pas devoir porter la ceinture "bloque-plug".

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      Je baissais mon pantalon sur les genoux avec regret. Je commençais à installer la cage et à mettre la malheureuse queue du slave dans son carcan. Je refermais avec regret et frustration le cadenas. Je prenais avec contrariété le plug métallique. Après l’avoir légèrement lubrifié, je l’introduisais progressivement dans mon infortunée méat urétral qui, au fur et à mesure, emplissait l’urètre du slave et fit grossir encore un peu plus la verge. Mon misérable pénis était enchâssé et comprimé dans les anneaux de la cage avec un pieu en son milieu. Je continuais par visser cet aiguillon au bout de la cage. Je prenais le Ballstretchers et, en étirant mes malencontreux testicules, je posais cette nouvelle contrainte. Je terminais en prenant le plug anal. Je le graissais légèrement et l’introduisais dans mon anus. Mon petit trou s’ouvrit et avala cette boule noire. J’étais confus et penaud que ma petite fleur avale aussi facilement ce pilori. Comme convenu avec mes Masters, je prenais en photo le résultat des instructions qu’ils m’avaient commandées.

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      Je remontais le treillis et je me rhabillais pour la troisième fois en moins d’une heure en constatant que ces astreintes faisait une bosse dans la jambe du treillis. Honteux et penaud, je me dépêchais à regagner mon bureau. Je débutais ma journée de travail frustré et un sentiment d’humiliation ainsi harnaché.

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      En m’assaillant sur mon siège. Je sentis le plug pénétrer encore plus profondément dans mon côlon. Je maudissais et haïssais un peu plus mes Maîtres et leurs nouvelles instructions en espérant qu’ils m’appellent rapidement pour me vider enfin les couilles débordantes.

Jeu 18 fév 2016 Aucun commentaire